Soleil crépusculaire, 1964-1967
Huile sur toile, 50 x 65 cm
Expositions : Neuchâtel, Musée des Beaux-Arts, mars-avril 1966
Passage de l’astre, 1965-1967
Huile sur toile, 130 x 97 cm
Expositions : Toile refusée par les Amis des Arts de La Chaux-de-Fonds en août 1966 Neuchâtel, Musée des Beaux-Arts, mars-avril 1966 Neuchâtel, Musée des Beaux-Arts, novembre-décembre 1970, sous le titre Présence de l’astre 2 Neuchâtel, Musée d’Art et d’Histoire, Exposition rétrospective, juin-septembre 1978
Falaises (Port d’Amsterdam), 1968
Huile sur toile, 36 x 44 cm
Expositions : Fribourg, Galerie de la Cathédrale, juin-juillet 1968 Neuchâtel, Musée des Beaux-Arts, novembre-décembre 1970
L’île (heureuse) ensoleillée – Très clair, 1970
Huile sur toile, 89 x 116 cm
Il existe une autre toile, L’ile heureuse, de moindre taille, de 1974 Expositions : Neuchâtel, Musée des Beaux-Arts, novembre-décembre 1970
Les maisons jaunes, 1977
Huile sur toile, 73 x 92 cm
Expositions : Neuchâtel, Musée d’Art et d’Histoire, Exposition rétrospective, juin-septembre 1978 La Chaux-de-Fonds, Amis des Arts, novembre 1978

1962 – 1982

Dans cette période ultime, l’art de Pierre-Eugène Bouvier se manifeste à la fois comme une synthèse de ses expériences et l’exploration toujours plus poussée des thèmes qui l’habitent particulièrement: soleil et eau. Renouant avec une certaine figuration, sa peinture ne renonce pas pour autant à l’abstraction: les éléments et les objets continuent d’être représentés par des images plastiques. Sans doute, les formes géométriques perdent-elles de leur acuité, ou tendent même à s’effacer dans les jeux prismatiques de la couleur. « La lumière, dira le peintre, module les plans les volumes, les densités; elle peut n’être que tempérée, voir sourde, même sombre, elle est toujours révélatrice d’une beauté apparemment cachée. »

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